C'est avec émoi que je lance le jeu.
Deux heures plus tard, c'est avec dégoût que je quitte puis désinstalle définitivement Call of Juarez: the Cartel. Une si bonne série de plus rejoignait le rang des "suites pourries".
Alors lorsque deux ans plus tard Ubisoft annonce (en s'excusant de la qualité médiocre du dernier opus) une suite, je ne peux que craindre ce qui va arriver. Quelques moi plus tard le jeu est en précommande sur Steam à 15euros, sentant encore le coup fourré je décide quand bien même de le prendre. Un exemplaire gratuit de "Bound in blood" le 2eme épisode de la série me mettant le pied à l'étrier (haha).
Le 22 mai, sortie officielle du jeu, cette fois ci c'est avec crainte que je lance le jeu, étant donné que je n'ai nullement cherché à me renseigner dessus avant sa sortie. Et là quelle surprise ! La cinématique d'intro n'est plus une cinématique "réaliste" mais une bande-déssinée ! Le narrateur ex-chasseur de primes nous raconte son histoire à travers la fin du XIXe siècle, au temps de Billy The Kid et autres célébrités locales.
En parlant de ces célébrités, le jeu est parsemés de Cow-boys réels dont nous apprenons que la mort à été causée non pas par leurs meurtriers revendiqués mais bien par le narrateur qui pourtant réussi à rester Annonyme aux Far-West !
En commencant le jeu, une autre surprise m'attends, nous sommes passés de ça

à ça et Oh joie ! Du CellShading ! Moi qui adore ça je suis servi ! C'est donc un réel plaisir que de déambuler dans les rues reconstituées de villages en bois tout en flinguant joyeusemant des bandits et autres hors-la-loi !

Le gameplay reste inchangé, avec de nombreuses corrections comme la suppréssion du mode couverture assez approximatif

Le fameux mode de concentration subit quelques modifications, pas forcément nécessaire vu la jouissance totale de celui de Bound In Blood




